Budget de Bordeaux sur fond d’austérité…

Voici le texte de mon intervention lors du Conseil municipal du 16 décembre 2013:

Mes Chers Collègues,

 Ce débat budgétaire, le dernier de ce mandat, est l’occasion de constater que Bordeaux n’est pas dans une bulle. Ce qui ce passe et se décide ailleurs interfère directement sur les finances de la ville et donc par conséquence sur le quotidien des Bordelais.

 Force est de constater que nous sommes loin de l’application des principes républicains de solidarité et de redistribution… à commencer par l’Etat.

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Petite enfance: Bordeaux patine !

Il ne se passe pas une semaine sans que je sois saisi de cas précis de familles sans solution pour la garde ou la scolarisation de leurs enfants de moins de trois ans. Pour deux raisons:

L’objectif du maire de parvenir à 6000 places d’accueil petite enfance d’ici 2014 est en passe d’être atteint… Sauf qu’il ne suit pas la courbe de la demande ! Les nouveaux habitants sont là et les listes d’attente aussi…

Les annonces ministérielles ont stimulé la demande de scolarisation des enfants de moins de 3 ans… Sauf qu’il n’y aura que 3 postes dédiés pour 50 écoles maternelles à Bordeaux. Au final, il est possible qu’on assiste à un nouveau recul de la scolarisation des tout petits… Avec la bénédiction de la Mairie, qui ne veut pas débloquer les moyens en personnel ATSEM, ni agrandir les locaux…

Voici notre tribune municipale de juin:

Petite enfance: recul du service public !

 Il y a peu, sur France inter, Alain Juppé se vantait d’avoir supprimé, avec Nicolas Sarkozy, 150000 emplois dans la fonction publique et demandait d’aller encore plus loin aujourd’hui en dégraissant l’emploi des collectivités territoriales… Avec la multiplication des délégation de service public (DSP) concernant la petite enfance, c’est ce à quoi le maire s’emploie aujourd’hui à Bordeaux.

D’après un rapport présenté en février dernier (Chambre régionale des comptes),  seulement 36% des petits bordelais sont accueillis en crèche municipale. 55% des établissements petite enfance sont gérés par la commune. Ce taux est de 64% au plan national. Il est souvent de 100% dans les municipalités communistes. 

La délibération du conseil du 29 avril 2013 présente comme « innovante » le recours à une DSP pour le service de petite enfance. C’est une façon de voir les choses… Car constatant les insuffisances des opérateurs privés, de nombreuses collectivités se posent la question de mettre fin aux DSP pour réorienter en régie des services comme la gestion de l’eau et des transports en commun.

Alors que la récente grève des agents de la petite enfance a mis en avant le déficit flagrant de personnel dans les crèches municipales, le maire tourne le dos au service public, en ayant recours au privé. Car, les financements de structure étant conservés par la ville, c’est bien sur le service et en particulier sur les charges de personnels que la ville invite le futur prestataire à faire de économies. Quand on assume de faire des économies sur le dos de la petite-enfance et que l’on trouve ça « innovant », c’est qu’il reste du chemin pour retrouver le sens de l’intérêt gènéral.

De plus, et cela ne concerne pas uniquement la mairie, nous venons d’apprendre que seuls trois postes d’enseignant dédiés à l’accueil des deux ans seront attribués à la Ville de Bordeaux (l’un à Belcier, l’autre à Bacalan, le troisième à La Benauge). Le compte n’y est pas, la tendance à la déscolarisation des deux ans déjà fortement amorcée depuis plusieurs années (le manque de place pour faire dormir les « petits » et de personnel qualifié pour accompagner les enseignants étant les arguments favoris de la municipalité) ne sera pas inversée, contrairement à ce qui se fait dans un grand nombre d’écoles privées.

En effet, une volonté politique encore une fois insuffisante ne permettra pas aux petits bordelais, particulièrement aux plus défavorisés (aucun enfant de moins de trois ans au Grand Parc), de bénéficier d’une scolarisation à partir de deux ans. Là encore, les mesures d’austérité interdisant de recruter davantage d’enseignants rejoignent et prolongent les divers arguments qui visent à faire reculer l’offre de service public concernant la petite enfance.

Bordelaises, bordelais, ne laissons pas faire. Mobilisons-nous pour le droit à une offre d’accueil collectif pour les moins de deux ans et une scolarisation des moins de trois ans dans tous les quartiers de Bordeaux. Pour que Bordeaux soit belle et rebelle !

Crèches: Juppé confirme sa préférence pour le privé !

 

Lors du conseil municipal du 29 avril, le Maire présentait le projet d’une nouvelle crèche à construire dans le cadre d’une dèlègation de service public (DSP)à un opérateur privé. La droite n’a pas apprécié mon intervention… Et pour cause:
D – 2013-205. DSP crèche rue Détrois
« Monsieur le Maire, vos responsabilités nationales et locales, ont sans doute accompagné pour ne pas dire précipité les dérives libèrales des 20 dernières années. Et ce matin encore sur France inter, vous vous vantiez d’avoir supprimé, avec le président Sarkozy, 150000 emplois dans la fonction publique et vous demandiez d’aller plus loin aujourd’hui en dégraissant l’emploi des collectivités territoriales…
Nous y sommes.

Pourtant, D’après le rapport présenté en février dernier (Chambre régionale des comptes),  seulement 36% des petits bordelais sont accueilis en crèche municipale. 55% des ‘établissements petite enfance sont gérés par la commune. Ce taux est de 64% au plan national. Il est souvent de 100% dans les mairies communistes. 

La délibération présente comme « innovante » le recours à une DSP pour le service de petite enfance. C’est une façon de voir les choses… Car constatant les insuffisances des opérateurs privés, de nombreuses collectivités se posent la question de mettre fin aux DSP pour réorienter en régie des services comme la gestion de l’eau et des transports en commun. Alors que la récente grève des agents de la petite enfance a mis en avant le déficit flagrant de personnel dans les crèches municipales, vous dècidez de tourner le dos au service public, en ayant recours au privé. Car, les financements de structure étant conservés par la ville, c’est bien sur le service et en particulier sur les charges de personnels que la ville invite le futur prestataire à faire de économies. Quand on assume de faire des économies sur le dos de la petite-enfance et que l’on trouve ça « innovant », c’est qu’il reste du chemin pour retrouver le sens de l’intérêt gènéral.
vote Contre »

Bordeaux belle et (re)belle…

Voici le logo de campagne du PCF pour les élections municipales de mars 2014.

Bordeaux belle et (re)belle !

Ce slogan renvoie à deux références culturelles appréciées dans le monde des luttes sociales et politiques:

– la chanson de Jean Ferrat « Ma France » qu’il nomme « la belle, la rebelle »

– le personnage de Dallas, Belle et rebelle, en grève contre la fermeture de son usine, dans le livre et le téléfilm de Gérard Mordillat « Les vivants et les morts« .

Pourquoi Bordeaux Belle ?

Belle, ce qualificatif n’est pas contestable et d’ailleurs très peu contesté… tant notre ville présente de multiples atouts qui ont façonné au fil des siècles sa notoriété et son attrait… et ce, bien avant 1995… et ce, bien avant son classement au patrimoine UNESCO !

Belle, parce que le renouvellement urbain qui a traversé et remodelé de grandes villes françaises et européennes ces 20 dernières années a embelli bien sûr Bordeaux: la Communauté urbaine de Bordeaux et l’Etat ont financé le tramway, la rénovation des quais, du cours du chapeau rouge, du cours Victor Hugo, la construction du pont Bacalan-Bastide, les ZAC  Bastide Niel, Chartrons, Ravesies, Bonnac, Ginko… demain Euratlantique.

Belle, car les Bordelaises et les Bordelais cultivent un art de vivre basé sur des principes de Vivre ensemble et de solidarités, empreint d’exigences de services et d’équipements publics, pour en favoriser un usage moderne, renouvelé d’une ville où il fait bon vivre et travailler.

Pourtant, Bordeaux, que d’aucuns qualifiaient de « Belle endormie » par 1/2 siècle de règne de Chaban-Delmas, si elle semble s’éveiller aujourd’hui, mérite qu’on s’attarde sur ce qui se passe de l’autre côté du miroir… ou des belles façades 18ème. Une ville de Bordeaux moins sage et consensuelle qu’il n’y parait…

Pourquoi Bordeaux rebelle ?

Rebelle à la chape de plomb qui étouffa sa complicité dans la traite négrière.

Rebelle à la monarchie grâce à l’Ormée plus d’un siècle avant la Révolution.

Rebelle au silence longtemps entretenu à propos des crimes de Maurice Papon durant la 2ème guerre mondiale.

Rebelle au patronat avec les grandes luttes ouvrières comme celles de l’aéronautique SNCASO en 36 à Bacalan, de la SAFT en 68, des femmes de Saint Joseph et des métallurgistes de Bordeaux Sud des années 70, ou de la sucrerie Beghin Say rue Achard en 1984.

Rebelle aux réformes injustes des différents gouvernements. Rappelons-nous 1995 où les cortèges bordelais contre la réforme des retraites d’un certain Juppé furent les plus importants de province. Idem des mouvements contre le CPE, pour l’école publique…pour le mariage pour tous !

Rebelle à l’arrogance d’une ville bourgeoise minée par un égocentrisme d’un autre temps, Bordeaux vote à gauche… et bien à gauche, puisque le Front de gauche vient d’y dépasser  20% dans des secteurs de Bx Sud, St Michel, Bacalan…

Alors oui, notre belle ville de Bordeaux, a de nombreuses raisons d’être encore plus rebelle demain:

– pour le droit au logement pour tous, le Maire s’obstine à ne pas respecter la loi SRU. Il faut changer !

– pour l’emploi, le Maire s’obstine à désindustrialiser (dernièrement Lesieur) et reléguer l’activité portuaire. Il faut changer !

– pour la petite enfance, le Maire s’obstine à ne pas répondre à la demande massive d’accueil collectif municipal (crèches). Il faut changer !

– pour l’enfance, le Maire s’obstine à favoriser l’école privée et n’offre pas les mêmes droits aux familles des différents quartiers. Il faut changer !

– pour la culture, le Maire s’obstine dans une vision rétrécie sur l’évènementiel, asphyxiant la création, la pérennité et la proximité culturelle. Il faut changer !

– pour le sport, le Maire s’obstine à arbitrer des choix entre grandes infrastructures et équipements de quartier. Il faut changer !

– pour les déplacements, le Maire s’obstine à ignorer le bouclage de la voie ferrée de ceinture. Il faut changer !

– pour le budget, le Maire s’obstine à mener une politique en augmentant les tarifs, en déléguant au privé ou en vendant le patrimoine. Il faut changer !

– pour la démocratie, le Maire s’obstine à confondre communication et concertation. Il faut changer !

– pour l’urbanisme, le Maire s’obstine à croire en la philanthropie des promoteurs immobiliers. Il faut changer !

pour Bordeaux, le Maire sortant s’obstine. Il faut changer !

 

 

 

 

Crèches privées: le Maire persiste et signe !

Mirassou à Bx Sud, Fondation d’Auteuil aux Aubiers, People
and Baby à Ravesie… le Maire de Bordeaux systématise le recours au privé pour
la gestion déléguée (DSP) des nouvelles crèches de la ville.

Lundi lors du Conseil municipal, c’est la même procédure qui
a conduit la majorité municipale à confier à People and Baby la future crèche
des Berges du Lac dans le quartier GINKO.

Voici mon intervention :

« Vous justifiez, Madame l’adjointe, le recours à la
délégation de service public en évoquant le  « besoin de diversification » des
acteurs de la petite enfance. Cet argument est pour le moins spécieux.

On ne gère pas la petite enfance comme un
parking ou une patinoire !

La petite enfance est une chose trop sérieuse pour être
confiée au privé, donc au marché ! Car c’est bien de cela qu’il s’agit. On
observe une recrudescence des appétits de sociétés privées dans ce secteur, il
est vrai, très lucratif. Lucratif, parce que, et c’est heureux, pour nos
enfants, on ne compte pas : CAF et collectivités financent en partie et
les parents paient… de plus en plus cher d’ailleurs !

La société People and Baby a dix d’existence et se targue d’avoir
multiplié par dix son chiffre d’affaire grâce à ses 150 établissements en France.
Fait rare dans ce milieu professionnel, elle a essuyé plusieurs conflits
sociaux, preuve d’une considération limitée des droits des personnels.

Pourquoi aller chercher ailleurs ce que l’on
reconnait efficace en interne à la Ville? Le service public municipal a
les compétences et une solide expérience grâce à un personnel qualifié protégé
par un statut. C’est dans cette direction que nous aurons les meilleures
garanties de service public !  Vote contre. »

Crèches privées: le Maire persiste et signe !

Mirassou à Bx Sud, Fondation d’Auteuil aux Aubiers, People
and Baby à Ravesie… le Maire de Bordeaux systématise le recours au privé pour
la gestion déléguée (DSP) des nouvelles crèches de la ville.

Lundi lors du Conseil municipal, c’est la même procédure qui
a conduit la majorité municipale à confier à People and Baby la future crèche
des Berges du Lac dans le quartier GINKO.

Voici mon intervention :

« Vous justifiez, Madame l’adjointe, le recours à la
délégation de service public en évoquant le  « besoin de diversification » des
acteurs de la petite enfance. Cet argument est pour le moins spécieux.

On ne gère pas la petite enfance comme un
parking ou une patinoire !

La petite enfance est une chose trop sérieuse pour être
confiée au privé, donc au marché ! Car c’est bien de cela qu’il s’agit. On
observe une recrudescence des appétits de sociétés privées dans ce secteur, il
est vrai, très lucratif. Lucratif, parce que, et c’est heureux, pour nos
enfants, on ne compte pas : CAF et collectivités financent en partie et
les parents paient… de plus en plus cher d’ailleurs !

La société People and Baby a dix d’existence et se targue d’avoir
multiplié par dix son chiffre d’affaire grâce à ses 150 établissements en France.
Fait rare dans ce milieu professionnel, elle a essuyé plusieurs conflits
sociaux, preuve d’une considération limitée des droits des personnels.

Pourquoi aller chercher ailleurs ce que l’on
reconnait efficace en interne à la Ville? Le service public municipal a
les compétences et une solide expérience grâce à un personnel qualifié protégé
par un statut. C’est dans cette direction que nous aurons les meilleures
garanties de service public !  Vote contre. »

Juppé l’ultralibéral !

Le conseil municipal de lundi fut consacré essentiellement au débat budgétaire (voir billet hier). Mais d’autres délibérations importantes ont permis de vérifier (mais qui en doute vraiment ?) que la majorité municipale UMP revendique et assume ses choix de droite…

Cité municipale :
Il s’agissait de valider le contrat de partenariat « Public-Privé » pour un bâtiment de 20 000 m² (architecte Andreu) sur le site de Mériadeck, destiné à recevoir 850 salariés de la ville, pour un coût de 50 millions d’euros. Sans mettre en cause le bienfondé du projet, notre groupe a contesté le montage financier en PPP avec le groupe Bouygues. Contre la livraison de la commande publique aux appétits financiers du privé, nous avons milité pour une opération en MOP (maîtrise d’ouvrage publique). Nous avons repris l’intervention déjà formulée pour dénoncer le montage financier du Gd Stade de Bx-Lac, et parue ce mois-ci dans la tribune libre du journal municipal « Bordeaux Magazine ». Voir : http://www.vincentmaurin.fr/2011/11/10/partenariat-public-prive-cest-non/.

Charte européenne de vidéo-protection :
Nous avons rappelé notre opposition au principe liberticide de vidéo-surveillance et du développement des caméras dans la ville. Avons contesté leur efficacité et leur coût. Avons rappelé notre préférence aux mesures de prévention basées sur une présence humaine plus soutenue. Partageons toute mesure visant à renforcer le contrôle éthique de ce système.

Crèche Mirassou déléguée au Privé : La majorité municipale avait décidé le 2 mai de déléguer la gestion de cette crèche municipale, rue Mirassou, à un prestataire associatif ou privé. C’est la société privée Babilou qui a emporté le marché parmi les six candidats. Nous avons rappelé que « l’accueil de la petite enfance ne peut faire l’objet de concurrence et d’objectifs lucratifs. La ville doit rester maîtresse de sa compétence, avec son personnel municipal statutaire, qualifié, expert dans son domaine. » Nous contestons la volonté du Maire de placer désormais en Délégation de service public (DSP) toutes les nouvelles structures municipales de petite enfance.

Subvention aux écoles privées :
C’est à marche forcée, que le Maire favorise l’école privée sur la ville. Cette année, la subvention municipale par élève augmente de 8 ,5 % ! Nous avons rappelé que la loi n’imposait pas l’aide aux élèves d’école maternelle, or Bordeaux les prend en charge. Et avons jugé indécente une telle faveur au privé au moment où l’école publique est malmenée par l’Etat et quand la Ville « décide d’y geler ses dépenses de fonctionnement pour les fournitures scolaires, les classes découvertes et les déplacements ».

 Archives municipales :
Les investissements municipaux structurels pour la culture sont si rares, qu’il faut se féliciter de la réalisation des nouvelles archives sur le site Bastide Niel. Nous appuyons notamment le choix de création en leur sein d’une « salle dédiée à des animations et conférences largement ouvertes au public ».

Contrat urbain de cohésion sociale :
Ce CUCS concerne les 7 quartiers « prioritaires » de la Ville. Ceux qui concentrent les plus grandes difficultés sociales, conséquences de choix économiques et urbains inégalitaires. Outre que la Ville se voit contrainte de corriger les effets d’une crise capitaliste qui paupérise davantage les populations, quand l’Etat se désengage de ses responsabilités, nous avons insisté sur les enjeux sociaux à ne pas simplement « accrocher » les nouvelles opérations urbaines du Lac, Bastide, Bacalan, Belcier, St Michel, Gd Parc… aux anciens quartiers dégradés, mais de parler plutôt de « liens » à renforcer. Nous avons insisté sur les enjeux de « mixité scolaire ». Nous avons pris l’exemple du nouveau collège de Bruges Le Tasta qui accueillera et les nouvelles populations des projets urbains Tasta et Ginko et une partie des élèves des Aubiers.

Mécénat en faveur de la biennale d’architecture Agora :
23 sociétés vont soustraire de leurs bénéfices imposables 475 000 euros par leurs dons à Agora 2012. En échange, la Ville leur dédiera des espaces de conférence et débats… Encore une privatisation de l’espace public ! Notre groupe fut, une nouvelle fois, le seul à s’opposer au mécénat culturel.

Réseau de chaleur des Bassins à flot :
Ce réseau aura pour opérateur la société Mixener, filiale de REGAZ, Gaz de Bx. Nous avons profité de cette délibération pour interpeler le Maire sur l’avenir de Gaz de Bx. En lui demandant « une communication lors du prochain conseil municipal évoquant la stratégie économique de Régaz Gaz de Bx, sa politique tarifaire, son dialogue social ».

Tableau des effectifs de la Ville :
Nous nous sommes abstenus parce qu’il n’évolue pas en proportion de l’augmentation de la population bordelaise et que, bien qu’en diminution, persistent la précarité et le temps partiel imposé, notamment dans les écoles. De plus, les nouvelles formes de prise en charge de la sécurité de voie publique devant les écoles par des agents volontaires recrutés en contrat de 17h30 semaine, posent questions.

Promenade Martin Luther King :
C’est le nom attribué au chemin longeant le Parc des sports de St Michel. Nous nous sommes félicités de cet hommage au père des droits civiques américains. Nous avons rappelé notre « demande qu’une artère ou édifice public de la ville porte le nom de Nelson Mandela, dont on fêtera en 2013, le 20ème anniversaire de l’attribution du Prix Nobel de la Paix« . Ainsi que pour Roger Lafosse, créateur de SIGMA.